The ex-factor #7 : Cendrillon*

Je suis atteint de ce que j’appelle le “syndrome de la grenouille et de la princesse”. C’est pas tout a fait l’équivalent du syndrome du prince charmant chez les nanas mais ca y ressemble. Les dernières nanas qui m’intéresse sont ce que j appelle des princesses : viennent d’une famille « aisée », pas forcement les mêmes envies, les mêmes passions, les mêmes idées que moi. Dans un sens c’est assez bizarre de rien avoir en commun avec quelqu’un avec qui tu sors et c’est même le genre de personne avec qui je serais pas forcement ami mais… Ce cote chic ca me plait et mon cote pas chic ca leur plait aussi. Je suis pas non plus un rebelle et un délinquant mais bon, la bourgeoise et le prolo ca ferait une bonne fable de la fontaine. Bon pour l’instant ca a jamais vraiment marche faudrait peut être que je laisse tomber et que je rejoue dans ma catégorie.
Un autre schéma que je reproduis depuis que je suis au Etats-Unis : je tombe que sur des filles qui ont des soucis avec leur mère. En fait cette réflexion m’est venu quand j’ai vu « The Notebook » ce week-end. Bon film ! En gros la nana a un père qui ramène tout l argent a la maison et la mère au foyer est tyrannique avec sa fille et lui impose sa façon de penser. Et ben même si le film se passe au milieu du siècle, c’est exactement ce que je retrouve ici. C’est sans doute une particularité propre au sud et encore une fois aux familles plutôt bourgeoises mais les mères ont des attentes pour leur filles qui sont totalement hors du temps. Faut dire que la moyenne d’âge ici est plus proche de 24 ans que de 30 du coup si t’es une fille de 27ans et que t’es célibataire ta mère doit te le rappeler souvent.
Mais bon malgré tout j’ai quand même besoin de mes potes pour boire des bières pdt l’happy hour et pour regarder les matchs de foot a la télé, et c’est ca qui passe en premier pour l’instant… ah merde c’est pour ca que je suis célibataire…
* Telephone